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DELF B2

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julie
  
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Nom : Pr nom : Code candidat : . DIPL ME D TUDES EN LANGUE FRAN AISE DELF B2 Niveau B2 du Cadre europ en commun de r f rence pour les langues Nature des preuves Dur e Note sur 30 min environ /25 Compr hension des crits R ponse des questionnaires de compr hension portant sur deux documents crits : - texte caract re informatif concernant la France ou l espace francophone - texte argumentatif. 1 h 00 min /25 Production crite Prise de position personnelle argument e (contribution un d bat, lettre formelle, article critique, etc.). 1 h 00 min /25 Compr hension de l oral R ponse des questionnaires de compr hension portant sur deux documents enregistr s : - interview, bulletin d informations, etc. (une seule coute) - expos , conf rence, discours, documentaire, mission de radio ou t l vis e (2 coutes). Dur e maximale des documents : 8 minutes Production orale Pr sentation et d fense d un point de vue partir d un court document d clencheur Seuil de r ussite pour obtenir le dipl me : 50/100 Note minimale requise par preuve : 5/25 Dur e totale des preuves collectives : 2 heures 30 minutes DELF B2 20 min maximum Pr paration : 30 min Note totale : /25 /100 Page 1 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES Partie 1 COMPR HENSION DE L ORAL 25 points R pondez aux questions en cochant ( ) la bonne r ponse, ou en crivant l information demand e. Exercice 1 5 points Vous allez entendre une seule fois un enregistrement sonore de 1 minute 40 environ. Vous aurez tout d abord 1 minute pour lire les questions. Apr s l enregistrement vous aurez 3 minutes pour r pondre aux questions. R pondez en cochant ( ) la bonne r ponse. Lisez maintenant les questions. 1. Initiative Oc ane est une op ration qui vise : nettoyer les plages. promouvoir le surf. lutter contre l rosion des dunes. 2. Le nombre de personnes qui ont particip l op ration tait de : 5 050. 550 000. 5 500. 3. L an dernier cette op ration s est d roul e dans 11 pays : d Europe, d Am rique et dans les Dom Tom. d Europe, d Afrique et dans les Dom Tom. d Am rique, d Afrique et dans les Dom Tom. 4. L op ration est l occasion de sensibiliser les b n voles : aux dangers de la mer. au recyclage des ordures. aux esp ces en voie de disparition. 5. On trouve le nombre le plus important de d chets dans : le golfe du Lion. la Mer du Nord. la M diterran e. Exercice 2 20 points Vous allez entendre 2 fois un enregistrement sonore de 3 minutes environ. Vous aurez tout d abord 1 minute pour lire les questions. Puis vous couterez une premi re fois l enregistrement. Concentrez-vous sur le document. Ne cherchez pas prendre de notes. Vous aurez ensuite 3 minutes pour commencer r pondre aux questions. Vous couterez une deuxi me fois l enregistrement. Vous aurez encore 5 minutes pour compl ter vos r ponses. 1. Combien y a-t-il de langues parl es dans le monde aujourd hui ? 1 point ______________________________ 2. Depuis un si cle, ce nombre : a diminu . a augment . est rest stable. DELF B2 1 point Page 2 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES 3. Compl tez le tableau. 2 points Organisation des Nations Unies Nombre d tats repr sent s : Nombre de langues officielles : Sujets abord s (citez en deux) 4. Quelles sont les langues officielles des Nations Unies ? 2 points ___________________________________________________________________________ 5. Quels organes de l ONU utilisent ces 6 langues comme langues officielles et langues de travail ? 1 point ___________________________________________________________________________ 6. Parmi ces langues, quelle est la place particuli re du fran ais et de l anglais ? 1,5 point ___________________________________________________________________________ 7. a) Quelle est la fonction de Louis-Dominique Ouedarogo aux Nations Unies ? 1 point ___________________________________________________________________________ b) Sur quel sujet a-t-il particuli rement travaill ? 1 point ___________________________________________________________________________ 8. Selon lui, l utilisation des langues dans les diff rentes agences de l ONU est : coh rente. peu coh rente. on ne sait pas. 1,5 point 9. Quelle organisation des Nations Unies a une seule langue officielle ? 1,5 point Nom de l organisation : _______________________________________________________ La langue officielle est : ______________________________ depuis : _________________ 10. Quelle situation provoque l tonnement de la pr sentatrice ? 1,5 point __________________________________________________________________________ 11. Selon Louis-Dominique Ou dragogo, la premi re raison qui explique cette situation est d ordre : politique conomique historique et technique 1 point 12. a) Qu appelle-t-on interpr tation cons cutive ? 1,5 point ___________________________________________________________________________ b) quelle autre technique d interpr tation l oppose-t-on ici ? 1 point ___________________________________________________________________________ 13. Une deuxi me raison a conduit limiter le nombre des langues de travail ? Laquelle ? 1,5 point ___________________________________________________________________________ DELF B2 Page 3 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES Partie 2 COMPR HENSION DES CRITS 25 points Exercice 1 14 points Une g n ration inoxydable C'est un ph nom ne unique dans l'histoire fran aise, n d'une conjonction particuli rement favorable de la d mographie et de l' conomie plus rare que l'on sait d j qu'il ne pourra pas durer. Ce ph nom ne, c'est l'apparition d'une g n ration in dite. N e entre 1936 et 1950, elle f te aujourd'hui ses 50-55 ou 65 ans et para t en tout point hors norme. D'abord, parce qu'elle est fort nombreuse. Ces plus de 55 ans, qui furent les petits Fran ais babillants du babyboom de l'apr s-guerre, repr sentent aujourd'hui 16 millions de nos compatriotes, soit 20 % de la population ! (...) Mais ces nouveaux seniors ne sont pas vieux, ou tout au moins ne se sentent pas g s. Contrairement leurs a n s, partis la retraite souvent us s par le travail et les probl mes de sant , les sexag naires d'aujourd'hui ont peine quelques m ches grises. Ils sont en g n ral bien portants, soucieux de leur apparence, avides de loisirs, de voyages et de sport... (...) Il est donc de plus en plus anachronique de ne voir en la vieillesse qu'une image morbide de rigidit , de conservatisme et de d cr pitude. Les sexag naires sont jeunes. Et fringants. Que vont-ils donc faire ? Prendre leur retraite, comme la loi le leur permet ? Ou s'obstiner garder les r nes de leurs entreprises, occuper les postes d'administrateurs et les si ges lectifs ? (...) Et, en France, la classe politique pourrait bien ressembler, tout du moins en nombre d'ann es, un pouvoir gris . Plus de la moiti des s nateurs ont plus de 60 ans, l' ge moyen des maires de communes de plus de 3 500 habitants est de 54 ans. Idem pour ceux qui les lisent. Alors qu'ils repr sentent 20 % de la population, les retrait s forment d j 30 % des lecteurs. Bref, la d mocratie a les tempes blanchies. Or, quand les papy-boomers seront la retraite, ils auront encore plus de temps. Ne vont-ils pas accaparer les affaires publiques leur avantage ? Faut-il redouter une g rontocratie la fran aise ? Fantasme ! Jean-Philippe Viriot-Durandal, ma tre de conf rences en sociologie l'universit de Franche-Comt , en est convaincu. Vieux ne veut pas forc ment dire r ac. Il en veut pour preuve deux exemples, d cortiqu s dans son livre. D'abord, la derni re lection pr sidentielle, o le vote pour le Front national fut autant le fait des jeunes lecteurs que de leurs a n s. La preuve aussi avec l'adoption de l'euro. Six mois apr s l'introduction d finitive de la monnaie unique europ enne, les nostalgiques du franc taient peine plus nombreux chez les plus de 65 ans que dans l'ensemble de la population 53 %, contre 48 % , crit le sociologue. Qui ajoute que l'opposition entre les jeunes g n rations, ouvertes sur le monde et sur l'avenir, et les anciennes, r tives au changement et r fractaires la nouveaut , ne serait que caricature. (...) Ajoutons, pour parfaire ce tableau, que ces seniors ont re u de la science la perspective d'un quart de si cle de long vit suppl mentaire travers en relative bonne sant . 60 ans aujourd'hui, on a encore devant soi vingt-cinq, voire trente ann es , explique Patrice Leclerc, responsable du programme personnes g es la Fondation de France. Tous se disent actifs, se sentent jeunes et le sont. Toniques, les papy-boomers sont format s pour le changement. Leur histoire est en effet aussi celle de la fin des certitudes. (...) Une g n ration d crisp e pour laquelle il est devenu presque banal de refaire sa vie largement pass l' ge de la retraite et tout aussi courant que ces nouveaux amoureux conservent chacun son logement. Les papy-boomers sont individualistes, ce sont d'ailleurs eux qui ont mis en vogue le concept. (...) Alors, que faut-il attendre de cette g n ration si nombreuse et si peu connue ? La soci t fran aise ne s'est jamais demand comment accompagner le vieillissement inexorable de sa population, analyse Patrice Leclerc, de la Fondation de France. Le vieillissement tait jusqu'il y a peu une stricte affaire de famille. Or, aujourd'hui, c'est un d fi massif lanc notre pays. D j , les probl mes s'accumulent. De la prise en charge des personnes g es d pendantes - dans vingt ans, il y aura 2 400 000 personnes g es de plus de 85 ans , rappelle volontiers Hubert Falco, secr taire d' tat aux Personnes g es - au financement des retraites, les solutions manquent. Faute d'y avoir r fl chi, car la recherche sur les cons quences sociales du vieillissement reste limit e. Surtout viter d'y penser... Pourtant, en 2006, le choc d mographique sera rude. C'est l'ann e o les centaines de milliers de baby-boomers, n s lors du pic des naissances de 1946, arriveront la retraite. C'est bient t. Catherine Golliau et milie Lanez - Le Point 03/10/03 DELF B2 Page 4 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES 1. Cochez VRAI ou FAUX et justifiez votre r ponse en citant un passage du texte. 3 points VRAI FAUX 1. Les retrait s sont sur-repr sent s dans l lectorat fran ais par rapport aux autres tranches d ge. Justification : 2. Il n est pas rare pour les retrait s d aujourd hui de s engager dans une nouvelle relation amoureuse. Justification : 3. Les anciennes g n rations sont beaucoup plus conservatrices que les jeunes g n rations. Justification : 2. Donnez deux l ments qui permettent de penser que le pourcentage de retrait s dans la classe politique 2 points fran aise augmentera dans un avenir proche. ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ 3. Quel est le ton des journalistes quand elles concluent : Surtout viter d y penser ? Cochez la bonne 1 point r ponse pol mique ironique dubitatif 4. Relevez trois caract ristiques qui distinguent les papy-boomers de la g n ration qui les a pr c d s.1,5 point ______________________________________ ______________________________________ ______________________________________ 5. Quels nuages p sent sur l horizon 2006 ? 2 points ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ DELF B2 Page 5 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES 6. Expliquez les expressions ou les mots soulign s 4,5 points ; 1,5 point par r ponse Une g n ration inoxydable ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ un pouvoir gris . ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ Faute d'y avoir r fl chi ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ DELF B2 Page 6 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES Exercice 2 11 points Le compte rebours Conservation ou exploitation ? Le d bat n'est pas nouveau. Il commence m me d j dater. Les ternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui d fendent les int r ts conomiques des compagnies foresti res semblent m me pass s de mode. Une voie m diane commence s'imposer entre deux points de vue jug s longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les for ts tropicales se d gradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre p renniser les ressources foresti res. Sur le continent africain, qui rec le un cinqui me des for ts tropicales du monde, il est d licat d' tablir un palmar s des risques que connaissent les zones expos es. La prolif ration de la culture sur br lis a largement d grad la for t ivoirienne alors que le Gabon a plus craindre de l'ouverture de son couvert forestier l'exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d'infrastructures dans les for ts entra ne le plus souvent un afflux de population incontr lable, ce qui ne fait qu'accro tre le d boisement. Mais ce n'est pas l le seul effet secondaire. La chasse est galement li e l'exploitation foresti re, le commerce du gibier offrant des possibilit s lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanz , et le percement des routes permet d' couler les produits de la chasse vers les grandes villes o un march florissant se d veloppe. L'exploitation est la plupart du temps confi e des soci t s priv es europ ennes ou asiatiques. En r gle g n rale, l'exploitation s lective qui en r sulte n'entra ne pas de d boisement massif. Et une for t bien am nag e pourra ult rieurement fournir une nouvelle r colte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des d lais beaucoup trop courts d'un point de vue cologique. Reprochant aux autorit s administratives l'absence de politique foresti re long terme, ils profitent de la dur e de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d'accro tre leurs marges b n ficiaires. D'autre part les pays d tenant une partie de la for t tropicale en font une source de revenus optimale court terme. Pour ces tats qui croulent sous le poids d'une dette ext rieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit int rieur brut. Cr atrice d'emplois, la fili re permet aussi de r quilibrer une balance commerciale souvent d savantageuse, tout en diversifiant les activit s locales. Reste que la bonne gouvernance appara t comme un facteur capital pour l'avenir de la for t. Dans certains pays, la prise de d cision est aux mains d'un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui consid rent les for ts primaires comme une source de revenus personnel court terme, ce qui entra ne la conclusion de contrats rapportant principalement des b n fices l'investisseur et certains fonctionnaires. La corruption se ressent diff rents niveaux: les salaires sont si bas que les employ s sont tent s d'accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d'exploitation qu'ils n'ont jamais vus. Face cette pression du march doubl e d'une absence de contr le rationnel, la for t est-elle condamn e ? Pas forc ment, mais il ne s'agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commenc appliquer les principes d'une gestion intelligente d'une ressource longtemps consid r e comme in puisable. Simultan ment des forestiers se convertissent l'am nagement afin de proc der une exploitation sylvicole rationnelle. Reste faire de ces principes une r gle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement dispara tre. Au rythme d'une vingtaine de terrains de football par minute. Jeune Afrique, 30 mai 2000 R pondez aux questions en cochant la bonne r ponse. 1. L'id e principale du premier paragraphe est que : la conservation et l'exploitation des for ts sont incompatibles. le d bat entre cologistes et exploitants forestiers n'a pas d'issue. on peut concilier la conservation et l'exploitation des for ts. les exploitants forestiers ne sont sensibles qu' l'app t du gain. 1 point 2. Le deuxi me paragraphe signifie que : les risques que connaissent les zones expos es sont les m mes partout. le classement des risques selon leur gravit est indispensable. les pays sont class s en fonction de l'intensit du d boisement qu'ils subissent. les risques et leur gravit varient d'un pays l'autre. 1 point DELF B2 Page 7 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES 3. Dans ce m me paragraphe, l'auteur estime que l'ouverture des routes : facilite l'am nagement des for ts. favorise la chasse du gibier. permet de vendre le gibier plus facilement. est une activit lucrative. 1 point 4. Dans le troisi me paragraphe, la plupart des exploitants... ont une vision court terme de la rentabilisation des for ts. pr conisent une rentabilisation progressive des for ts. soutiennent la politique foresti re locale. d fendent une exploitation cologique de la for t. 1 point 5. Dans le quatri me paragraphe l'auteur du texte estime que le d boisement abusif dans certains pays 1 point africains : est la seule responsabilit des exploitants forestiers. est d au manque de vision des chefs d' tat qui ne sont pas concern s par l'environnement. est li la pauvret du pays et parfois la corruption de certains fonctionnaires. contribue accro tre le d ficit budg taire de la nation. 6. D'apr s vous, l'auteur de l'article : prend position. reste neutre. se veut allusif. cherche la confrontation. 1 point Justifiez votre r ponse en relevant une expression du texte. 1 point ___________________________________________________________________________ 7. R pondez aux questions suivantes avec vos propres mots : 2 points par r ponse a) Expliquez le choix du titre Le compte rebours . ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ b) Montrez en quoi certaines soci t s d exploitation ont une position ambigu vis vis de l administration ? ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ DELF B2 Page 8 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVES COLLECTIVES Partie 3 PRODUCTION CRITE 25 points Demande argument e Vous tes de plus en plus nombreux dans votre entreprise avoir des enfants en bas ge. De plus, vous souffrez du manque d espace dans vos bureaux. Au nom de vos coll gues, vous crivez au directeur pour demander ce que chacun puisse travailler chez lui. Vous lui indiquez les avantages du travail distance (en plus de ceux d j cit s) et le b n fice que l entreprise pourrait en tirer. (250 mots environ) DELF B2 Page 9 sur 9 DOCUMENT DU CANDIDAT PREUVE INDIVIDUELLE PREUVE DE PRODUCTION ORALE 25 points 30 min de pr paration 20 min de passation Consignes Pr senter et d fendre un point de vue construit et argument partir d un court texte d clencheur. D bat avec l examinateur. Vous d gagerez le probl me soulev par le document ci-dessous. Vous pr senterez votre opinion sur le sujet de mani re argument e et vous la d fendrez si n cessaire. Au choix sujet n 1 ou sujet n 2 DELF B2 Page 1 sur 1 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS CORRIG ET BAR ME Partie 1 - COMPR HENSION DE L ORAL - 25 points Exercice 1 5 points Une pinc e de sable dans les d chets (1 min 40 s) C'est reparti ! Vendredi, samedi et dimanche prochain, les surfeurs lancent pour la neuvi me ann e Initiative Oc ane . Une op ration destin e collecter les d chets accumul s sur les plages. L'an pass , 5 500 personnes avaient pass au crible une centaine de sites dans 11 pays d Europe, d'Afrique et dans les Dom Tom. Elles ont ramass 430 m tres cubes de d chets, de quoi remplir 200 bennes ordures. L'op ration ne se borne pas au nettoyage. Elle est aussi l'occasion de sensibiliser les b n voles et les curieux la protection des oc ans ou encore au tri s lectif des ordures m nag res. Ramasser les d chets n'est pas une t che si facile. Il faut veiller ce que les plus jeunes ne touchent pas aux d chets dangereux. Il faut laisser sur place les bois morts chou s sur les dunes : ils contribuent fixer le sable et lutter contre l' rosion olienne. Il faut viter videmment de pi tiner les zones sensibles. Une tude d'Ifremer a montr que les d chets s'accumulaient essentiellement l'embouchure des fleuves, proximit des grandes agglom rations ou le long des routes des navires de commerce et de p che. Avant de s' chouer sur les plages, les d chets flottent au gr des vagues : on estime 5 millions et demi le nombre de d chets flottant dans le golfe du Lion. Certains finissent par boire la tasse : 150 millions de d chets sur les fonds de la mer du Nord ou encore 300 millions en M diterran e. Les emballages plastiques constituent l' chantillon le plus repr sentatif : 60 95 % des d chets selon les sites. Nous sommes donc tous coupables disent les surfeurs. Rendez-vous le week-end prochain pour ramasser et pour faire passer ce message : ne jetez rien la mer, elle vous le rendra ! La liste des sites de nettoyage est disponible sur francedirecteinfo.com Nathalie Fontrel Plan te Mer France- Infos, le 14 Mars 2004 1. Initiative Oc ane est une op ration qui vise : nettoyer les plages. promouvoir le surf. lutter contre l rosion des dunes. 2. Le nombre de personnes qui ont particip l op ration tait de : 5 050. 550 000. 5 500. 3. L an dernier cette op ration s est d roul e dans 11 pays : d Europe, d Am rique et dans les Dom Tom. d Europe, d Afrique et dans les Dom Tom. d Am rique, d Afrique et dans les Dom Tom. 4. L op ration est l occasion de sensibiliser les b n voles : aux dangers de la mer. au recyclage des ordures. aux esp ces en voie de disparition. 5. On trouve le nombre le plus important de d chets dans : le golfe du Lion. la Mer du Nord. la M diterran e. DELF B2 Page 1 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS Exercice 2 20 points [Marion Urban :]- Il y a entre 6000 et 7000 langues parl es dans le monde, moiti moins que celles que les linguistes ont recens es dans les si cles pass s. Internet, n cessit de l crit oblige, n en a absorb que pour l instant que 1400. l Organisation des Nations Unies, une institution qui regroupe 189 tats, on n en a retenu que six. Six, ce n est pas beaucoup quand on veut se parler, quand on veut diffuser de l information sur des sujets aussi importants que la guerre, l cole, le sida, les droits de l homme, enfin toutes ces choses qui font l actualit et le quotidien de 6 milliards de personnes, dont nous sommes. Mais le paysage linguistique de l ONU et de ses agences n appara t pas si formel, si compact, si homog ne quand on s en approche, et c est ce qu a fait Francophonie en se rendant l un des si ges de l organisation Gen ve, en Suisse. L ONU s est donc choisi 6 langues officielles : le fran ais, l anglais, l espagnol, le russe, le chinois et l arabe - un choix dict par ses membres fondateurs et l volution des adh sions. L ONU doit donc fournir des services d interpr tation et de traduction dans ces six langues. Par ailleurs le fran ais et l anglais ont un double statut, puisque ces deux langues sont aussi des langues de travail et donc privil gi es dans l administration. Ce n est pas simple, et c est encore moins simple quand il s agit d autres agences des Nations Unies, comme l explique Louis-Dominique Ouedraogo, Inspecteur des Nations Unies, auteur d un rapport d enqu te sur le multilinguisme : - a varie d une organisation l autre, et l int rieur de la m me organisation, a peut varier galement. L Assembl e g n rale et le Conseil de s curit ont ces six langues la fois comme langues officielles et langues de travail, mais si on prend un autre organe principal, qui est le Conseil conomique et social, les langues officielles sont les m mes six langues, mais les langues de travail sont anglais, fran ais et espagnol. Si on prend une organisation comme l Union postale universelle, qui est la seule organisation de la famille des Nations Unies o le fran ais est la seule langue officielle, et cela depuis la cr ation de l Union postale en 1876. - Pourquoi on n a pas appliqu d embl e ces six langues officielles et on ne les pas institutionnalis es comme tant des langues de travail ? - Ben, je crois qu il y a deux choses qui ont jou , d abord, historiquement, il faut bien se rendre compte que au moment o l ONU a t cr e par la charte de San Francisco, la technologie de l poque en mati re d interpr tation n tait pas ce qu elle est aujourd hui. On en tait encore l interpr tation cons cutive au lieu de l interpr tation simultan e. - Cons cutive, cela voulait dire qu en fait la personne parlait dans sa langue maternelle, et puis tait traduite apr s - et l interpr te interpr tait au fur et mesure, alors quand vous le faites d j entre deux langues, a prend le temps qu il faut, s il faut le faire en six langues, vous imaginez un peu ce que a repr sente comme difficult . Je crois qu il y a eu d abord cette premi re probl matique. La deuxi me probl matique est vidente, c est que a a un co t : plus de langues il y a, plus de ressources il faut pour assurer et l interpr tation et la traduction. RFI Magazine, 2002, Semaine 35 1. Combien y a-t-il de langues parl es dans le monde aujourd hui ? 1 point Entre 6000 et 7000. 2. Depuis un si cle, ce nombre : a diminu . a augment . est rest stable. 1 point 3. Compl tez le tableau. 2 points Organisation des Nations Unies Nombre d tats repr sent s : 189 Nombre de langues officielles : 6 Sujets abord s (citez en deux) Deux r ponses parmi : guerre, ducation, sida, droits de l homme 4. Quelles sont les langues officielles des Nations Unies ? 2 points Le fran ais, l anglais, l espagnol, le russe, le chinois et l arabe. 5. Quels organes de l ONU utilisent ces 6 langues comme langues officielles et langues de travail ? 1 point L Assembl e g n rale et le Conseil de s curit . DELF B2 Page 2 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS 6. Parmi ces langues, quelle est la place particuli re du fran ais et de l anglais ? 1,5 point Elles sont non seulement langues officielles, mais aussi langues de travail. 7. a) Quelle est la fonction de Louis-Dominique Ouedarogo aux Nations Unies ? 1 point Inspecteur. b) Sur quel sujet a-t-il particuli rement travaill ? 1 point Le multilinguisme. 8. Selon lui, l utilisation des langues dans les diff rentes agences de l ONU est : coh rente. peu coh rente. on ne sait pas. 1,5 point 9. Quelle organisation des Nations Unies a une seule langue officielle ? 1,5 point Nom de l organisation : l Union postale universelle La langue officielle est : le fran ais depuis : 1876 10. Quelle situation provoque l tonnement de la pr sentatrice ? 1,5 point Le fait que les six langues officielles ne soient pas galement toutes des langues de travail. 11. Selon Louis-Dominique Ou dragogo, la premi re raison qui explique cette situation est d ordre : politique conomique historique et technique 12. a) Qu appelle-t-on interpr tation cons cutive ? 1 point 1,5 point La personne qui parle s exprime dans sa langue et l interpr te traduit ensuite. b) quelle autre technique d interpr tation l oppose-t-on ici ? 1 point L interpr tation simultan e. 13. Une deuxi me raison a conduit limiter le nombre des langues de travail ? Laquelle ? 1,5 point Le co t de la traduction et de l interpr tation dans un grand nombre de langues serait trop lev . DELF B2 Page 3 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS Partie 2 - COMPR HENSION DES CRITS - 25 points Exercice 1 14 points 1. Cochez VRAI ou FAUX et justifiez votre r ponse en citant un passage du texte. 3 points VRAI FAUX 1. Les retrait s sont sur-repr sent s dans l lectorat fran ais par rapport aux autres tranches d ge. Justification : X 2. Il n est pas rare pour les retrait s d aujourd hui de s engager dans une nouvelle relation amoureuse. Justification : X 3. Les anciennes g n rations sont beaucoup plus conservatrices que les jeunes g n rations. X Justification : 2. Donnez deux l ments qui permettent de penser que le pourcentage de retrait s dans la classe politique 2 points fran aise augmentera dans un avenir proche. Arriv e massive la retraite de cette g n ration en 2006 : plus nombreux. Une fois en retraite, auront plus de temps : plus disponibles pour la politique. 3. Quel est le ton des journalistes quand elles concluent : Surtout viter d y penser ? Cochez la bonne 1 point r ponse. pol mique ironique dubitatif 4. Relevez trois caract ristiques qui distinguent les papy-boomers de la g n ration qui les a pr c d s.1,5 point Trois l ments parmi les suivants : bien portants, soucieux de leur apparence, avides de loisirs, actifs, se sentent jeunes 5. Quels nuages p sent sur l horizon 2006 ? 2 points Probl me du financement des retraites ; Question de la prise en charge des personnes d pendantes. DELF B2 Page 4 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS 6. Expliquez les expressions ou les mots soulign s 4,5 points ; 1,5 point par r ponse Une g n ration inoxydable Qui ne vieillit pas, ne rouille pas, reste en pleine sant . un pouvoir gris . Un pouvoir qui appartient aux personnes g es (cheveux gris). Faute d'y avoir r fl chi Parce que les gouvernements n y ont pas suffisamment pens . Exercice 2 11 points R pondez aux questions en cochant la bonne r ponse. 1. L'id e principale du premier paragraphe est que : la conservation et l'exploitation des for ts sont incompatibles. le d bat entre cologistes et exploitants forestiers n'a pas d'issue. on peut concilier la conservation et l'exploitation des for ts. les exploitants forestiers ne sont sensibles qu' l'app t du gain. 1 point 2. Le deuxi me paragraphe signifie que : les risques que connaissent les zones expos es sont les m mes partout. le classement des risques selon leur gravit est indispensable. les pays sont class s en fonction de l'intensit du d boisement qu'ils subissent. les risques et leur gravit varient d'un pays l'autre. 1 point 3. Dans ce m me paragraphe, l'auteur estime que l'ouverture des routes : facilite l'am nagement des for ts. favorise la chasse du gibier. permet de vendre le gibier plus facilement. est une activit lucrative. 1 point 4. Dans le troisi me paragraphe, la plupart des exploitants... ont une vision court terme de la rentabilisation des for ts. pr conisent une rentabilisation progressive des for ts. soutiennent la politique foresti re locale. d fendent une exploitation cologique de la for t. 1 point 5. Dans le quatri me paragraphe l'auteur du texte estime que le d boisement abusif dans certains pays 1 point africains : est la seule responsabilit des exploitants forestiers. est d au manque de vision des chefs d' tat qui ne sont pas concern s par l'environnement. est li la pauvret du pays et parfois la corruption de certains fonctionnaires. contribue accro tre le d ficit budg taire de la nation. 6. D'apr s vous, l'auteur de l'article : prend position. reste neutre. se veut allusif. cherche la confrontation. 1 point 1 point Justifiez votre r ponse en relevant une expression du texte. il devient urgent de (premier paragraphe) ou bien Reste faire de ces principes une r gle pour tous. (dernier paragraphe). La liste n est pas exhaustive. DELF B2 Page 5 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS 7. R pondez aux questions suivantes avec vos propres mots : 2 points par r ponse a) Expliquez le choix du titre Le compte rebours . Le compte rebours signifie qu il ne reste que peu de temps avant qu on puisse inverser le cours des choses car actuellement les for ts disparaissent raison de 20 terrains de football par minute. (+ id e d une for t condamn e , menac e dans le dernier paragraphe). b) Montrez en quoi certaines soci t s d exploitation ont une position ambigu vis vis de l administration ? Les soci t s reprochent aux autorit s administratives leur absence de politique foresti re long terme mais elles en profitent pour surexploiter les for ts. Elles se montrent irresponsables car elles ont pr tes utiliser les failles des autorit s tout en les critiquant. (paragraphe 3). DELF B2 Page 6 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX CORRECTEURS Partie 3 PRODUCTION CRITE - 25 points B2 : Prise de position personnelle argument e sous forme d une contribution un d bat, lettre formelle, article critique... Respect de la consigne Respecte la situation et le type de production demand e. Respecte la consigne de longueur indiqu e. Correction sociolinguistique Peut adapter sa production la situation, au destinataire et adopter le niveau d expression formelle convenant aux circonstances. Capacit pr senter des faits Peut voquer avec clart et pr cision des faits, des v nements ou des situations. Capacit argumenter une prise de position Peut d velopper une argumentation en soulignant de mani re appropri e points importants et d tails pertinents. Coh rence et coh sion Peut relier clairement les id es exprim es sous forme d un texte fluide et coh rent. Respecte les r gles d usage de la mise en page. La ponctuation est relativement exacte mais peut subir l influence de la langue maternelle. 0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3,5 4 0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3,5 4 0 0.5 1 1.5 2 Comp tence lexicale /orthographe lexicale tendue du vocabulaire Peut utiliser une gamme assez tendue de vocabulaire en d pit de lacunes lexicales ponctuelles entra nant l usage de p riphrases. Ma trise du vocabulaire Peut utiliser un vocabulaire g n ralement appropri bien que des confusions et le choix de mots incorrect se produisent sans g ner la communication. Ma trise de l orthographe Comp tence grammaticale/orthographe grammaticale Choix des formes un bon contr le grammatical. Des erreurs non syst matiques peuvent encore se produire sans conduire des malentendus. Degr d laboration des phrases Peut utiliser de mani re appropri e des constructions vari es. DELF B2 Page 7 sur 7 DOCUMENT R SERV AUX EXAMINATEURS PREUVE DE PRODUCTION ORALE 25 points 30 min de pr paration 20 min de passation Consignes Pr senter et d fendre un point de vue construit et argument partir d un court texte d clencheur. D bat avec l examinateur. Sujet n 1 Vous d gagerez le probl me soulev par le document ci-dessous. Vous pr senterez votre opinion sur le sujet de mani re argument e et vous la d fendrez si n cessaire. La crise d adolescence n a rien d une fatalit Par Michel Fize, sociologue au CNRS (Centre national de recherche scientifique) qui revient cette id e folle d inventer, un jour... la crise d adolescence ? Jean-Jacques Rousseau lui-m me, le philosophe p dagogue ! Il n y aurait, selon lui, qu adolescents r volt s ou d prim s... Pourtant, tout ceci n est qu une fable ! La crise d adolescence (de la pubert , en r alit ) n a rien d une fatalit , ne r pond aucun d terminisme biologique. Et l opposition aux parents - aux enseignants quelquefois - n est pas une n cessit , m me si les sp cialistes estiment que non seulement la crise existe, mais encore qu il vaut mieux la faire t t que tard. Nous savons maintenant que l erreur d analyse tient au fait que la plupart des psychologues, psychiatres, psychanalystes et m decins parlent de l adolescence sur la base d observation de jeunes en difficult psychologique ou sociale, essayant de comprendre et de dessiner le normal partir du pathologique . Sujet n 2 Vous d gagerez le probl me soulev par le document ci-dessous. Vous pr senterez votre opinion sur le sujet de mani re argument e et vous la d fendrez si n cessaire. Violence : les crans en accusation Une question complexe qui ne semble pas pr s d' tre r solue Ce n'est plus une vague mais un raz-de-mar e. En Europe et aux tats-Unis, les associations familiales et de t l spectateurs, les instances de r gulation voire les cha nes elles-m mes s'inqui tent de l'impact de la violence des films et s ries t l sur les enfants. Avec chiffres et exp rimentations la rescousse. Comme cette enqu te de Columbia University expliquant qu'un enfant regardant la t l plus de trois heures par jour risque cinq fois plus qu'un autre d'avoir un comportement violent l' ge adulte. (...) Ou encore comme ces tests canadiens d montrant que le degr de la violence accept e par un jeune est plus lev que celui d'un adulte. Face certains experts pour qui la t l vision est responsable de tous les maux, d'autres comme George Gerbner, pionnier am ricain des tudes t l , osent rappeler que l'industrie du film et les exigences mercantiles sont l'origine du ph nom ne. L'homme n'a pas attendu la t l pour tuer , ironise l'universitaire canadien Richard Tremblay. Le probl me, complexe, exige des r ponses forc ment nuanc es et la responsabilisation des familles et des parents, eux-m mes bien souvent en crise. Et puis il y a aussi Internet : un mal chasse l'autre... Yves-Marie Lab Le Monde du 3 mai 2003 DELF B2 Page 1 sur 2 DOCUMENT R SERV AUX EXAMINATEURS Grille d valuation de la production orale B2 1 re partie monologue suivi : d fense d un point de vue argument Peut d gager le th me de r flexion et introduire le d bat Peut pr senter un point de vue en mettant en vidence des l ments significatifs et / ou des exemples pertinents Peut marquer clairement les relations entre les id es me 2 0 0,5 1 1,5 0 0.5 1 1.5 2 2,5 0 0.5 1 1.5 2 2,5 0 0.5 1 1,5 2 2,5 3 0 0.5 1 1.5 2 2,5 3 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3 partie Exercice en interaction : d bat Peut confirmer et nuancer ses id es et ses opinions, apporter des pr cisions Peut r agir aux arguments et d clarations d autrui pour d fendre sa position. Pour l ensemble de l preuve Lexique ( tendue et ma trise) Poss de une bonne vari t de vocabulaire pour varier sa formulation et viter des r p titions ; le vocabulaire est pr cis mais des lacunes et des confusions subsistent. Morphosyntaxe A un bon contr le grammatical, malgr de petites fautes syntaxiques. Ma trise du syst me phonologique A acquis une prononciation et une intonation claires et naturelles. NOTE SUR 25 DELF B2 4,5 TOTAL : Page 2 sur 2 5 DOCUMENT R SERV AUX SURVEILLANTS TRANSCRIPTION DES DOCUMENTS AUDIO S assurer avant de commencer l preuve que tous les candidats sont pr ts. L enregistrement sur cassette comporte l ensemble des consignes ainsi que les temps de pause entre les coutes. Le surveillant ne doit donc pas intervenir sur le magn tophone avant la fin de l preuve. [Mise en route du magn tophone] DELF DALF, niveau B2 du Cadre Europ en de R f rence pour les Langues, preuve orale collective. Exercice 1 Vous allez entendre une seule fois un enregistrement sonore de 1 minute 40 environ. Vous aurez tout d abord 1 minute pour lire les questions. Apr s l enregistrement vous aurez 3 minutes pour r pondre aux questions. R pondez en cochant ( ) la bonne r ponse. Lisez maintenant les questions. Une pinc e de sable dans les d chets (1 min 40 s) C'est reparti ! Vendredi, samedi et dimanche prochain, les surfeurs lancent pour la neuvi me ann e Initiative Oc ane . Une op ration destin e collecter les d chets accumul s sur les plages. L'an pass , 5 500 personnes avaient pass au crible une centaine de sites dans 11 pays d Europe, d'Afrique et dans les Dom Tom. Elles ont ramass 430 m tres cubes de d chets, de quoi remplir 200 bennes ordures. L'op ration ne se borne pas au nettoyage. Elle est aussi l'occasion de sensibiliser les b n voles et les curieux la protection des oc ans ou encore au tri s lectif des ordures m nag res. Ramasser les d chets n'est pas une t che si facile. Il faut veiller ce que les plus jeunes ne touchent pas aux d chets dangereux. Il faut laisser sur place les bois morts chou s sur les dunes : ils contribuent fixer le sable et lutter contre l' rosion olienne. Il faut viter videmment de pi tiner les zones sensibles. Une tude d'Ifremer a montr que les d chets s'accumulaient essentiellement l'embouchure des fleuves, proximit des grandes agglom rations ou le long des routes des navires de commerce et de p che. Avant de s' chouer sur les plages, les d chets flottent au gr des vagues : on estime 5 millions et demi le nombre de d chets flottant dans le golfe du Lion. Certains finissent par boire la tasse : 150 millions de d chets sur les fonds de la mer du Nord ou encore 300 millions en M diterran e. Les emballages plastiques constituent l' chantillon le plus repr sentatif : 60 95 % des d chets selon les sites. Nous sommes donc tous coupables disent les surfeurs. Rendez-vous le week-end prochain pour ramasser et pour faire passer ce message : ne jetez rien la mer, elle vous le rendra ! La liste des sites de nettoyage est disponible sur francedirecteinfo.com Nathalie Fontrel Plan te Mer France- Infos, le 14 Mars 2004 Exercice 2 Vous allez entendre 2 fois un enregistrement sonore de 3 minutes environ. Vous aurez tout d abord 1 minute pour lire les questions. Puis vous couterez une premi re fois l enregistrement. Concentrez-vous sur le document. Ne cherchez pas prendre de notes. Vous aurez ensuite 3 minutes pour commencer r pondre aux questions. Vous couterez une deuxi me fois l enregistrement. Vous aurez encore 5 minutes pour compl ter vos r ponses. DELF B2 Page 1 sur 2 DOCUMENT R SERV AUX SURVEILLANTS [Marion Urban :]- Il y a entre 6000 et 7000 langues parl es dans le monde, moiti moins que celles que les linguistes ont recens es dans les si cles pass s. Internet, n cessit de l crit oblige, n en a absorb que pour l instant que 1400. l Organisation des Nations Unies, une institution qui regroupe 189 tats, on n en a retenu que six. Six, ce n est pas beaucoup quand on veut se parler, quand on veut diffuser de l information sur des sujets aussi importants que la guerre, l cole, le sida, les droits de l homme, enfin toutes ces choses qui font l actualit et le quotidien de 6 milliards de personnes, dont nous sommes. Mais le paysage linguistique de l ONU et de ses agences n appara t pas si formel, si compact, si homog ne quand on s en approche, et c est ce qu a fait Francophonie en se rendant l un des si ges de l organisation Gen ve, en Suisse. L ONU s est donc choisi 6 langues officielles : le fran ais, l anglais, l espagnol, le russe, le chinois et l arabe - un choix dict par ses membres fondateurs et l volution des adh sions. L ONU doit donc fournir des services d interpr tation et de traduction dans ces six langues. Par ailleurs le fran ais et l anglais ont un double statut, puisque ces deux langues sont aussi des langues de travail et donc privil gi es dans l administration. Ce n est pas simple, et c est encore moins simple quand il s agit d autres agences des Nations Unies, comme l explique Louis-Dominique Ouedraogo, Inspecteur des Nations Unies, auteur d un rapport d enqu te sur le multilinguisme : - a varie d une organisation l autre, et l int rieur de la m me organisation, a peut varier galement. L Assembl e g n rale et le Conseil de s curit ont ces six langues la fois comme langues officielles et langues de travail, mais si on prend un autre organe principal, qui est le Conseil conomique et social, les langues officielles sont les m mes six langues, mais les langues de travail sont anglais, fran ais et espagnol. Si on prend une organisation comme l Union postale universelle, qui est la seule organisation de la famille des Nations Unies o le fran ais est la seule langue officielle, et cela depuis la cr ation de l Union postale en 1876. - Pourquoi on n a pas appliqu d embl e ces six langues officielles et on ne les pas institutionnalis es comme tant des langues de travail ? - Ben, je crois qu il y a deux choses qui ont jou , d abord, historiquement, il faut bien se rendre compte que au moment o l ONU a t cr e par la charte de San Francisco, la technologie de l poque en mati re d interpr tation n tait pas ce qu elle est aujourd hui. On en tait encore l interpr tation cons cutive au lieu de l interpr tation simultan e. - Cons cutive, cela voulait dire qu en fait la personne parlait dans sa langue maternelle, et puis tait traduite apr s - et l interpr te interpr tait au fur et mesure, alors quand vous le faites d j entre deux langues, a prend le temps qu il faut, s il faut le faire en six langues, vous imaginez un peu ce que a repr sente comme difficult . Je crois qu il y a eu d abord cette premi re probl matique. La deuxi me probl matique est vidente, c est que a a un co t : plus de langues il y a, plus de ressources il faut pour assurer et l interpr tation et la traduction. RFI Magazine, 2002, Semaine 35 Lisez pr sent les questions. Vous avez une minute. coutez le document une premi re fois. Commencez maintenant r pondre aux questions. Vous avez 3 minutes. coutez le document une seconde fois. Compl tez maintenant vos r ponses. Vous avez cinq minutes. L preuve est termin e. Veuillez poser vos stylos. DELF B2 Page 2 sur 2

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